J’ai longtemps habité une région idyllique
Les fleurs offraient son surnom au lieu
Situé entre les collines et une rivière au milieu
Habité d’hommes d’un penchant politique
Les foules inquiètes implorant les cieux
Élisant le parti qui leur parle d’une Suisse mythique
Offrant à des délinquants des mandats politiques
L’étranger serait l’empêcheur du mieux
C’est là que j’ai vécu dans les voluptés calmes
Au milieu du vert, des arbres, des splendeurs
Avant de découvrir les nauséabondes odeurs
Qui m’inquiète à l’extrême l’âme
Et dont l’unique but est de nuire
Afin que l’autre choisisse de fuir
C’est fleurs sont celles du mal de Baudelaire
En particulier celle de sa vie antérieure
Or en fait il existe un monde meilleur
Un monde tout aussi réel mais minoritaire
Un autre monde du respect et de la fraternité
Celui de l’homme noble par son humilité
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